lundi 20 avril 2009
The End
mercredi 25 mars 2009
Un pont dans la baie
Les deux possibilités seraient soit de constuire un pont fixe avec des arches suffisament grandes pour laisser circuler les navires dans la baie, ou bien réaliser un pont mobile. Dans tous les cas le coût s'élèvera au moins à 1,5 milliard de R$.
Itaparica coté baie
Itaparica coté océan
lundi 16 mars 2009
Ronde de prénoms
Parfois, lorsque le nom de l'enfant est le même que celui du père, vient s'ajouter "filho" ou "junior" : fils , ou "neto" : petit fils. Le fils d'un grand homme d'affaire, Antonio Carlos Margalhães, s'appellant Antonio Carlos Margalhães Júnior (lui même président d'une grande société), a évidemment appelé son fiston Antonio Carlos Margalhães Neto. Vous me suivez ?
Autres les prénoms tirés de la bible, qui sont intemporels, comme Thiago, Matheus, Pedro, Juan, José, Lucas, Maria, Jesus, Gabriel, Rafaela... il existe un certains nombre de particularités.
mardi 10 mars 2009
La chasse au limpotu
où il est possible de laisser des commentaires... en français.
Barra toujours
encore Barra... eh oui!, ce sont les seuls que j'ai pu photographier en dehors du bus.
vendredi 6 mars 2009
Attttchim...Saúde !
mardi 3 mars 2009
Les motels... à la minute
Les grands motels de Salvador coûtent de 40 à 60 réais, pour une période d’une ou deux heures et sont localisés bien loin du centre ville. Pour le public qui ne peut pas aller dans ces quartiers et payer le prix de ces établissements, la ville basse offre des alternatives bien moins chère. Le client qui correspond à ce profil pourra investir à partir de 1.99 réais pour obtenir ce qu’il souhaite.
A Calcada, un immeuble qui est apparemment un hôtel sert en fait de motel, masqué pour éviter la fiscalisation appliquée à cette activité. « Ici, il y a beaucoup de gens qui viennent pendant la journée. C’est moins cher et les chambres sont bien. Ca ne vaut pas la peine d’aller si loin », affirme la réceptionniste, tout en garantissant l’hygiène des chambres et des accessoires, chambres composées d’un lit double, d’une télévision, d’une salle de bain et d’un ventilateur. Tout est simple mais efficace. « Il n’y a besoin de rien de plus, les personnes viennent ici pour faire l'amour, pas pour voir la beauté des lieux. Au final, tout ce que les gens font là bas, ils le font ici aussi », raconte en souriant la sympathique réceptionniste.
L’objectif de ce type d’endroit est de satisfaire les clients en offrant la commodité et la confiance d’un local sûr et discret.
1.99 réais. Un peu plus loin de là où se concentrent les motels, au Bonfim, une « pousada » retient l’attention de par ses prix pratiqués par période. En plus de la traditionnelle période d’une heure, le local offre aussi en option la modalité par minutes, qui finalement est l’une des plus recherchées. Si le client reste de une à 10 minutes, le prix est de 1,99 réais. Au-delà, jusqu’à une heure le prix est de 10 réais. « A l’heure du déjeuner ici c’est plein. Il y a des gens qui n’ont pas beaucoup de temps et qui font tout en 10 minutes, et qui avant devaient quand même payer 10 réais. Aujourd’hui c’est plus facile», raconte le fonctionnaire de nettoyage.
La façade de ce motel, comme les autres, cache le véritable établissement. Pour ne pas avoir de contrôle sévère ou même en en ayant, mais inefficace, la présence de jeunes filles dont personne ne sait si elles sont majeures est courante. A l’entrée est demandé le nom complet de la personne pour remplir un formulaire mais la présentation de la carte d’identité n’est pas obligatoire. La récéptionniste Ney Oliveira confirme qu’elle ne regarde pas beaucoup les visages des gens, pour ne pas intimider. «Le propriétaire a dit qu’il ne fallait pas beaucoup retenir les clients à la réception. Moins c’est long, mieux c’est. »
La pratique de prix bas est plus commune que ce que l’on imagine. L’étudiant d’un collège de Ribeira, Adriano Santo, raconte que comme il n’a pas d’argent, il recherche les endroits qui offrent la possibilité de rester moins et explique sa technique.
« Quand je suis avec une fille, tout ce que l’on peut faire dans la rue on le fait. Mais quand ca commence à chauffer, on va dans une chambre pour quelques minutes et c’est tout bon » Il indique une série de motels dans son quartier où il est possible de faire cela.
Ces motels plus populaires ne font pas de publicité. La divulgation est de bouche à bouche et le résultat est satisfaisant pour les propriétaires. Pour une population avec un plus faible pouvoir d’achat, ils font succès en offrant simplement la base.
C’est une alternative qui entraîne une plus grande compétitivité pour endroits plus sophistiqués, par exemple pour un établissement qui va jusqu’à coûter 79 réais, deux heures, pour une chambre où l’on trouve baignoire avec hydromassage, chaise érotique, sexshop avec produits variés, lit et matelas d’eau, température ambiante réglable ou encore service de chambre exclusif.
Le résultat est le même quelque soit le local. Mais la différence, c’est pour le porte-monnaie."
mercredi 25 février 2009
carnavalesquissement carnaval à Ondine
mardi 24 février 2009
Carnavalesquement carnaval au pelo
Au pelourinho, ce sont surtout les groupes de musiques et de danses afro-brésiliens. De partout on entend des batucadas, des dizaines de personnes jouant des instruments à percussions composé de tambours de différentes tailles (http://fr.wikipedia.org/wiki/Batucada). Les plus attendus sont ceux de l'école d'Olodum, un fameux groupe bahiannais, composés de plus de 100 personnes.

Qualité de téléphone portable pas terrible, mais ici pour tous les évênements populaires les appareils photos sont en danger!!
lundi 16 février 2009
J-2
lundi 9 février 2009
amuser pour mieux régner
lundi 2 février 2009
Le 2 février, fête de Yemanja
Le rituel consiste en une procession, en costumes traditionnels (les couleurs prédominantes sont le blanc et le bleu, couleur de Yemanja), chargés d'offrandes qui seront embarquées sur des petits bateaux. Les gens se rendent sur la plage pour y jeter des fleurs, au passage ils ont le droit au traditionnel bain de feuilles. Sur la plage, il y a des sambas de roda, des rondes de gens qui chantent et dansent en compagnie du père des saints (haute figure du candomblé). Celui ci exerce quelques exorcismes, les danses sont de plus en plus frénétiques, la foule de plus en plus dense.
La déesse est ensuite portée à l'eau par les pêcheurs afin qu'elle leur apporte protection jusqu'à l'année prochaine. Autour de ce culte religieux s'est construit un véritable business -comme de nos jours la plupart des fêtes religieuses-. Les vendeurs ambulants se sont déplacés en masse pour vendre leurs produits à l'effigie de la déesse, leurs chapeaux de paille, les fleurs qui seront jetées à l'eau, des litres et des litres de bières ...tout cela pour les touristes venus en masse assistés à cette fête promulgée par le gouvernement. Dans les rues pour l'occasion interdites aux voitures, on peut assister à des rodas de capoeira ou à des batucadas (orchestre de percussions), puis en début d'après midi une véritable parade de carnaval avec un char et de la musique populaire. Il me semble que la population s'est d'un coup rajeunie, tous sautent et chantent sous le soleil de plomb, les corps s'entremèlent, la fièvre monte... Un avant goût de carnaval !
vendredi 30 janvier 2009
Rencontre
mardi 20 janvier 2009
conversations (2)
lundi 19 janvier 2009
Conversations
lundi 12 janvier 2009
Pas de changement
Cela ne change pas grand chose (quoi que vous savez ce que l'on dit: 20 centimes + 20 centimes + 20 centimes...) mais le problème, c'est surtout pour la monnaie !